Sujet: Minuit . Heure du crime . Lun 7 Nov - 13:31 | |
| MODÈLE RP
༺Esquisse du tableau༻« Prémices de l'identité »
Nom Δ De Beauregard Prénom(s) Δ Minuit Louise Elise Pureté du sang Δ Sang-pur. Titre Δ Je compte faire la demande du Duché du Languedoc pour la famillle de Beauregard. Date & lieu de Naissance Δ 20 décembre, Avignon. Lieu de Résidence Δ Manoir familiale de Provence, à Jonquière, au bien célèbre Château de Beauregard. Race Δ Sorcière. Année Scolaire Δ Avant dernière, 6ème donc. Maison envisagée Δ Valsevent.
Baguette Magique Δ 29,7 centimètres de cèdre renfermant un cheveux de vélane. Épouvantard Δ Le feu. Patronus Δ Un Aigle. Miroir du Risèd Δ Minuit se voit avec un ventre rebondit, enceinte de plusieurs mois, entourée d’une ribambelle d’enfants blonds aux yeux clairs. Mais elle sait que c’est impossible, puisque la jeune femme est dans l’incapacité de porter le moindre enfant. Opinion Politique Δ Neutre Réputation à la cour Δ Douce et mystérieuse : Personne ne vous connait vraiment, vous êtes la belle jeune femme aux boucles d’or que nul n’ose approcher tant votre air sombre et ténébreux intrigue. Seul vos intimes vous connaissent vraiment, car vous n’êtes pas des plus extravagantes et, discrète, vous n’aimez pas attirer l’attention, malgré votre goût du risque qui a déjà fait le tour du Palais vous tentez de vous effacer pour mieux éblouir. Particularité Δ L’unique particularité associée à Minuit est sans doute cette étrange bague portée au pouce droit représentant un serpent qui se mord la queue, nul ne sait d’où elle vient, ni même qu’il s’agit en réalité d’une clef bien spéciale.
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༺Chapitre de la Discorde༻« Au cœur des lignes » C’était une nuit bien sombre de décembre, et la neige tombait abondamment sur les hauteurs de la Provence, heurtant le sol silencieusement, recouvrant champs de lavande et oliviers dégarnis. Il était rare de voir la poudreuse s’abattre sur le contrée, car la douceur en hiver y était telle que rares étaient les fois où la température était négative. Pourtant, depuis plusieurs jours déjà, il semblait qu’une vague de froid s’était couchée sur les pays du midi, et alors, seuls les épaisses couvertures et feux de cheminée étaient assez rigoureux pour réchauffer corps et âmes des pauvres provençaux inaccoutumés. Dans un petit village du Sud Est de la France royale, à Jonquière, se tenait fier et droit le château de Beauregard. C’était une bâtisse haute et intimidante, en excellent état, placé au centre d’un grand jardin si bien entretenu qu’il en paraissait étrange. Le château appartenait à la famille du même nom, et de la même ampleur, puisqu’il s’agissait de celle du Duc Charles de Beauregard et de sa femme, la Duchesse Marguerite de Beauregard, née de Miraucourt, ainsi que de leurs trois enfants, les jumeaux Minuit et August, et la petite derrière, Automne, née d’une infidélité du Duc avec une domestique morte en couche. Madame la Duchesse dans sa bonté sans nom avait accepté d’élever l’enfant comme la sienne, et consentait à faire d’elle une héritière si ses jumeaux s’en trouvaient dans l’incapacité. Ce soir d’hiver glacé, la famille au complet s’était réunie dans le grand salon du château pour y célébrer noël. La famille de Beauregard était une grande lignée de sorciers au sang-pur mais n’était pas de ceux qui y prêtaient attention, aussi favorisaient-ils l’échange avec toutes les races et tous les sangs plutôt que de se confiner dans l’illusoire idée que seul le sang comptait vraiment. Oncles, tantes, grands parents et cousins s’étaient donc rencontrés en ce soir de fête et partageaient des mets que nul autre que des elfes de maison avaient divinement préparé, riant aux éclats face aux blagues du vieil oncle Bertie qui semblait en connaître un millier. Ce fut dans une ambiance heureuse et chaleureuse que se déroula le festin, jusqu’à ce que minuit sonnât à l’Eglise du village et qu’on envoyât les enfants se coucher, s’ils voulaient recevoir leurs cadeaux le lendemain matin. Les adultes se retrouvèrent finalement au coin du feu, partageant un dernier verre de verveine et les derniers ragots de la cour du roi, à Paris. Depuis la naissance des enfants, le couple de Beauregard n’avait guère eut le temps de courtiser ni même de se rendre à la capitale, ainsi les heureux parents ne connaissaient que très peu les nouvelles tendances, pas plus que les rumeurs qui couraient sur eux-mêmes. En effet, à la cour, on murmurait que le Duc de Beauregard devait sans doute périr de maladies vénales car sa réputation de coureur n’était plus à faire, et que la pauvre Marguerite, dont gentillesse légendaire la faisait passer pour une simplette aveugle, acceptait que son époux batifole avec tout être affublé d’une poitrine conséquente dans le seul but de conserver l’amour du seul homme qui ne l’eut jamais touché. « Quel infamie… marmonna l’oncle Pierre en portant son verre à la bouche. C’est une honte, ajouta sa femme, une belle suédoise aux longues jambes, d’une vingtaine d’années de moins que lui, dont tout un chacun savait qu’elle était l’une des colporteuses principales de la cour. Mais enfin, je ne comprends pas, murmura la douce Marguerite, blessée par de telles rumeurs. Il est vrai que j’ai pardonné une fois l’égarement de mon époux, mais cela ne signifie pas que je pardonnerai toutes ces infidélités. Tu comprends, chéri ?Bien sûr. Mais ce ne sont que d’affables rumeurs, Maggie, sois en certaine. » On ne savait qui croire, mais l’air patibulaire du Duc coupa net la conversation, et nul n’osa rapporter les autres rumeurs qui couraient sur leur compte. Toute la famille le savait, mais personne ne voulait mettre sur le sujet sur la table : le roi en personne aurait laissé entendre que le Duc de Beauregard ne s’était pas montré des plus courtois ces dernières années et qu’il avait des doutes quant à sa fidélité envers le trône. Il faut dire que le Duché de Beauregard n’était pas réputé pour son dévouement le plus pure envers la couronne, et le Duc avait souvent laissé entendre qu’il n’était pas le plus loyal des serviteurs du roi. La famille de Beauregard s’était trouvée propriétaire du Duché grâce à un sang très pur, une richesse inépuisable et des liens solides avec la famille royale, liens qui s’étaient dégradés au fil du temps que le roi imposait son despotisme et sa loi. Charles et Marguerite avaient inculqué à leurs enfants le respect des règles et de la loi, mais ne les contraignaient pas à croire en autre chose que leurs propres idées, et ne faisaient pas l’éloge de la royauté à longueur de temps. Souvent, à table, Charles évoquait le temps où le monde magique était gouverné par un Ministère juste et égal et semblait revivre avec nostalgie le temps de ses aïeuls, alors que lui-même n’avait connu que la monarchie. Ainsi, Minuit, August et Automne, en grandissant, n’eurent pas le loisir de se rendre à la cour une fois le mois pour se pavaner devant l’élite du monde magique. La famille de Beauregard était appréciée en Provence, Charles était un duc juste et avenant, qui n’hésitait pas à convier tout le village pour des petites soirées amicales, et Marguerite se rendait régulièrement au village pour bavarder avec les autres dames. C’était un couple proche de leurs enfants et de leurs sujets, et qui n’avait pas d’ennemi à proprement parlé. Les enfants étaient de bons élèves, de bons sorciers qui avaient montré une digne distinction et un talent sûr pour la magie. Ce fut d’ailleurs à ce sujet que la conversation se solda, en cette veille de noël, et que les adultes allèrent se coucher, déposant au préalable de beaux présents au pied du lit de leurs enfants. ༺ De nombreuses années étaient passées depuis que cette conversation avait eut lieu dans le salon de la famille de Beauregard. On ne s’était d’ailleurs pas attardé sur la chose, et on l’avait oublié, comme il était coutume de faire lorsqu’il n’y avait pas de nouvelles vagues. La famille du Duc se portait pour le mieux, les enfants étaient doués pour la magie, et le couple n’avait jamais été aussi heureux et proche. On sentait une ambiance légère et simple règner dans la demeure familiale, les seuls conflits étaient ceux d’August et de Minuit qui semblaient avoir grande peine à se supporter l’un l’autre, eux qui s’étaient trouvés si complices autre fois, étaient à présent des ennemis jurés que seuls le lien de sang lié, semblait-il. On en oubliait le fait qu’ils étaient jumeaux, il fallait dire que leur opposition physique était telle qu’on pouvait douter de leur fraternité. Minuit était petite, fine, pâle : chétive. Elle avait des boucles blondes qui lui flottaient derrière le dos et un sourire d’ange qui en avait piégeait plus d’un. Ses grands yeux bleus avaient cela d’hypnotisant qu’ils ne cillaient que très rarement, et sa bouche si rouge semblait gorgée de sang bleu. Elle était étrange, c’était le mot qui convenait. Elle était jolie, mais ne transcendait pas par son allure, elle était douce, mais tortueuse, son silence fascinait mais inquiétait, elle était comme ça, Minuit. Son nom ne la rendait que plus étrange, unique, si froide. La belle était née une nuit froide de décembre et sans doute portait elle cela en étendard car nombreux furent les prétendants éconduits par la fraîcheur de son timbre et la pâleur de son regard sévère. August, quant à lui, était né quelques minutes plus tard qu’elle, mais portait pour nom celui d’un mois d’été, car son apparence solaire à l’instar d’un dieu grec en avait convaincu plus d’un. Il était lumineux, brillait en tous domaines, magie, musique, éloquence. Sa chevelure des ténèbres faisait déjà fondre les jeunes femmes plus âgées que lui, et souvent, au village, on les entendait murmurer « dommage qu’il soit si jeune ». C’était une astre, quant Minuit n’était qu’un satellite autour de lui. La chétive et maladive jeune fille restait dans l’ombre de son frère de lumière, elle le jalousait, le voulait sien et pourtant le haïssai de tout son être. Tant de désespoir inutile, de douleur néfaste et de mauvais sentiments égarés. Bien sur, ils s’aimaient, à leur manière, d’un amour de fusion, de feu et de froid, lui seul savait faire perdre son sang froid à la douce Minuit, lui seul faisait fondre le glaçon rigide qui résidait dans sa poitrine, mais nul ne voulait l’admettre. Alors, ils préféraient se haïr à haute voix, pour mieux s’aimer en silence. Parfois, il y avait des petites intentions que seuls eux percevaient, un effleurement, une caresse, un regard plongeant, mais qu’était-ce à côté des piques continuelles qu’ils se lançaient sans cesse et des brimades réciproques qu’ils s’affligeaient perpétuellement ? Pour le bien de la fratrie, Charles et Marguerite avaient décidé de les envoyer dans deux collèges différents, bien loin l’un de l’autre. Ainsi, August fut envoyé à Poudlard, où il apprendrait la distinction anglaise à l’état pur, la grâce et la splendeur d’un sorcier digne de ce nom. Minuit voyagea vers l’Est, où elle prit ses bases à Dürmstrang, école aussi polaire et sombre que son âme. Et quand August brillait de milles feux à Poudlard, Minuit restait solitaire et moyenne dans le grand nord. Ils s’échangeaient une lettre trois fois l’an, qu’ils signaient timidement d’un « tu me manques ». En voici un échantillon. « August, Notre ultime année de collège s’achève peu à peu, et je me sens de plus en plus las et inquiète quant à l’avenir. L’année prochaine, nous entrerons dans la même école, celle qui se situe aux pieds même de notre souverain, et j’avoue que cette idée même me noue l’estomac. Nous n’avons jamais rencontré le roi, nos parents s’étaient toujours opposé au système courial, aussi, des personnes de notre rang n’ayant jamais cotoyé la cour vont faire l’objet de nombreuses rumeurs et autres infâmies plus injustifiées les unes que les autres. Mais là n’est pas mon unique souci, j’ai peur de te retrouver, mon frère, peur de revivre avec toi chaque minute de ma vie, car nous savons tous les deux que tels des aimants opposés, nous savons nous repousser avec vergogne. Bien sûr, la vie loin de l’âme sœur que tu es, est difficile, et mon seul réconfort se situe dans ces missives envoyées si peu régulièrement, mais l’appréhension augmente au fil des jours, et j’angoisse à l’idée de te retrouver. Crois-tu que nous arriverons enfin à nous aimer comme le font de vrais frères et sœurs ? Pouvons nous nous adorer avec plaisance plutôt qu’avec souffrance ? Nos parents s’inquiètent pour notre relation, et ils songent à nous faire rester à la cour durant les vacances pour tisser des liens sociaux et connaître autre chose que notre petit village du Midi. Papa s’étonne de me savoir si solitaire, quand toi tu es si proche du monde entier. Il a suggeré de me trouver un époux pour favoriser mon insertion social, et aux vues des lois draconniennes de notre royaume quant aux marriages des sangs purs, je crains de me voir affubler d’un prétendant ridiculement chevaleresque qui ne verra en moi que le moyen de perpétuer sa lignée. Je me sens faible, et malade, mes maux de têtes d’accentuent et je m’évanouie plus régulièrement que jamais. J’ai l’impression de sombrer dans un comas profond chaque jour un peu plus. Maman veut me montrer au Docteur Mounier, mais tu sais comme cet homme m’effraie depuis ma plus tendre enfance. Je ne pense pas que ce soit si grave que cela, la fatigue sans doute. Il se fait tard, de mon côté du globe, la nuit est tombée depuis plusieurs heures déjà, et le peu de chaleur que nous promettait le soleil d’été s’amenuise de plus en plus, de gros nuages sombres menacent. Nous nous reverrons bientôt, je serais à Kings Cross le jour de ton retour. Je t’embrasse, Nuit. » ༺ Pourtant, l’état de Minuit s’aggrave au fils des mois, des semaines, des jours et parfois même des heures. On la montra aux plus grands spécialistes de la région, et tous eurent le même diagnostique : la magie rongeait Minuit, au plus elle lançait des sorts puissants, au plus elle s’en retrouvait affaiblie et ses fonctions vitales perdaient de leur vigueur. Ses reins allaient mal, et l’on devait lui faire une dialyse magique chaque semaine, elle avait constamment de la fièvre, mangeait peu, ne pouvait presque pas se déplacer, et était assommée de médicaments magiques. Le traitement était lourd, mais il le maintenait en vie et pour cela, on continuait de lui administrer. Les guérisseurs n’avaient jamais vu cela de leur carrière, Minuit faisait, littéralement, une allergie à la magie. On mena des tests plus poussés, et il se révéla que loin d’être l’enfant médiocre qu’on croyait que Minuit était, la jeune fille était en réalité bien plus intelligente que la moyenne, mais que son organisme modérait le débit de magie dans son sang pour empêcher une surcharge, et donc la mort. Une sorte d’instinct de survie en quelque sorte. Alitée tout le jour durant, Minuit ne sortait qu’un peu le soir, lorsque la fraîcheur était tombée et que la fièvre était basse, elle ne tolérait que très peu la présence d’autres personnes que son frère dans sa chambre, et quand bien même ils passaient leur journée sans se dire un mot, sa présence la rassurait et l’apaisait. A force de traitements, son état s’améliora, mais Minuit en ressortit plus pâle et plus fragile que jamais. Une semaine avant leur rentrée à Avalonya, Minuit et August, installée dans la chambre de la jeune sorcière eurent une discussion que nul n’aurait pu soupçonner. « Je crois que maman ne veut pas me laisser partir. Je l’ai entendu dire à papa qu’elle comptait faire une demande de dérogation au roi pour que j’ai des cours à domicile…, souffla Minuit dans un soupir doux et inquiet. Elle s’inquiète pour toi, tu as passé l’été couchée, Nuit, tu as perdu le peu de graisse que tu avais et tu es allergique à la magie. Comme tout le monde, elle pense que t’envoyer à la cour, dans un lieu où la magie est très dense, ne sera pas très bénéfique pour toi. Elle préfère te garder au grand air. Mais je ne veux pas rester là. Je vais mourir d’ennui si je reste, et je préfère mourir de magie plutôt que de passivité. J’imagine , dit August, nonchalant, de sa voix rauque, feuilletant un livre de magie achetée la veille, mais je crois que c’est la meilleure solution pour te garder en vie. Tu ne veux pas de moi à Avalonya, s’écria soudain Minuit, horrifiée. Je t’ai entendu dire à papa que tu voulais vivre ta gloire seul, sans avoir le fardeau d’une sœur malade à porter sur tes épaules d’athlète. Ne dis pas de sottise, tu divagues ma pauvre fille. Regarde-moi en face, et dis-moi que je ne suis pas un boulet qui t’empêche d’avancer dans ta vie. Tu n’es pas un boulet. » Mais il ne la regardait pas et lisait son livre comme si de rien n’était, comme si personne n’était en train de lui adresser la parole, comme si sa sœur n’était pas malade. Il ne voyait pas le mal qu’il lui faisait. Depuis sa plus tendre enfance, Minuit s’était imaginée faire sa scolarité avec l’aide de son frère, de sa moitié, mais il semblait que lui ne partageait pas la même opinion qu’elle. Il ne voulait pas à avoir une sœur à soigner et à ménager, il voulait briller, et au fond d’elle, Minuit le comprenait. Pourtant, elle voulait aller à Avalonya, elle voulait connaître la cour et briller à sa manière, par son mystère, son silence et son originalité. Elle non plus de voulait plus être dans l’ombre de son jumeau, elle ne voulait plus être la fille du Duc, ou la sœur du grand et beau August, elle voulait être Minuit de Beauregard. Mais était-ce possible ? Son traitement était lourd à porter, mais elle s’en sentait capable, elle avait pris sa décision. Elle prendrait son traitement en cachette, pour que nul ne la prenne en pitié, et elle deviendrait celle qu’elle voulait être. Et pour cela, il lui faudrait se battre avec sa mère et la horde de médicomages qui gravitaient autour d’elle depuis des mois. ༺Sacrifice & vérité༻« L'artiste de l'œuvre… » Pseudo. ou Prénom Δ Ana/Casimir/Blue/ toutcequivouspasseparlatete Âge Δ La majorité (peut légalement s'inscrire sur les forums sans demande la permission à ses parents. Qui le fait ?) Célébrité choisie Δ Kirsten Dunst Commentaires Δ J'adore le design, et au début, j'arrivais pas à trop à me retrouver sur le forum, il est très (trop ?) complet et les titres sont pas toujours explicites, mais ils sont toujours très originaux et c'est ce qui m'a fait craquer avant toutes choses (puis y a les descriptions quand même), bref félicitations <3 Comment avez-vous connu le forum Δ Euh par mail je crois, d'un forum d'un forum. Code de validation Δ Code validé by la sangsue sexy
Dernière édition par Minuit L. de Beauregard le Mer 16 Nov - 16:58, édité 5 fois |
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