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Nathanaël Solis Ruiswyck

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MessageSujet: Nathanaël Solis Ruiswyck Nathanaël Solis Ruiswyck EmptyJeu 3 Nov - 19:33


Nathanaël Solis Ruiswyck 59ubdg


༺Esquisse du tableau༻
« Prémices de l'identité »



Nom Δ Ruiswyck
Prénom(s) Δ Nathanaël Solis
Pureté du sang Δ Sang-pur
Titre ΔAucun, ancien Vicomte disgracié
Date & lieu de Naissance Δ 10 décembre, à Oxford, Angleterre
Lieu de Résidence Δ Angleterre, Oxford
Race Δ Sorcier
Année Scolaire Δ 7e Année
Maison envisagée Δ Serpentard



Baguette Magique Δ Simple droite, dans un bois de meurisier, très foncé et le vernis accentue l'obscurité de sa couleur. Le bout du manche est légèrement plus épais, deux moulures, comme deux bracelets, où y sont gravés quelques arabesques celtes.
Épouvantard Δ Requin
Patronus Δ Renard
Miroir du Risèd Δ Des sirènes
Opinion Politique Δ Anarchiste
Particularité Δ Occlumens, une grosse cicatrice à sa jambe, dû à un incident de plongée lors d'un voyage.





Nathanaël Solis Ruiswyck 23hb0qq


Nathanaël Solis Ruiswyck 747155Sanstitre3

༺Chapitre de la Discorde༻
« Au cœur des lignes »


Nathanël patientait devant Avalonya, l’établissement de magie où il était en derrière année. Il attendait, tout simplement que sa cigarette se finisse avant de ne penser à pénétrer dans la cour. L’air était frais. Cela aurait été avant, il n’aurait pas eu autant d’audace de consommer son tabac, bien devant la grande porte du château. Il serait resté bien à l’écart, pour la finir tranquillement, ou alors entouré de personne qui feraient de même, mais pas seul. Or, désormais, à ce jour, il n’était plus, tout simplement, il était rien. Un simple cafard comme beaucoup d’autre qui a eu « la chance » d’entrer ici et d’y rester. Et dire que sans les incidents du passé, il serait le genre de personne à penser ce genre de chose de personne dont il faisait parti maintenant. Quoique, vu sa situation, il ne s’en empêchait pas non plus. Il serait idiot et être faible si un titre pouvait vous donnez de la force. La force, le pouvoir, on pouvait la gagner, du fond de son esprit et de son comportement. Malgré sa petite place, il restait un sang pur, un bel homme, de très bonne éducation, malin ; il n’avait que des bonnes cartes en mains. Pas les meilleurs, mais le bluff, soit la confiance en soi, pouvait vous aider à gagner.

Il jeta son mégot, le coinçant entre deux doigts avant de l’expulser au loin. Il se perdit au milieu d’une herbe à peine tondue, commençant à être hirsute et sauvage. Il pénétra enfin dans l’école Avalonya. Plongeant sa main dans sa poche, il fouilla dans un petit paquet de biscuit, ouvert. C’était des sablés écossais, minuscules et délicieux, pas trop secs, au bon gout de beurre. Leurs fameux shortbread. A peine mit-il un pied dans les couloirs ce jour de rentré, que les élèves eurent toutes les réactions qu’il s’imaginait et qu’il avait rencontré la plus part de ses anciennes années, depuis son arrivée à Avalonya. C’était ridicule, pathétique, risible, jouissant et agaçant, tout cela à la fois. Sa bouche plus que close, mastiquait avec lenteur et avec le moins de gestes possible ses biscuits. Il ne baissait pas la tête, pas face à ces pauvres petits élèves, de bonne ou mauvaise situation, intelligents ou non, ils n’étaient rien du tout à ses yeux. Il ne les laisserait pas l’obliger à baisser les yeux ou longer les murs. Il donna juste un petit coup derrière la visière de son borsalino pour le faire penché sur son front. Son regard ne fut que plus affûté sous l’ombre de l’habit de tête. La tenue droite, les épaules qui roulaient, le visage dédaigneux, il marchait d’un pas fier au milieu des couloirs.

Une petite nouvelle, fraîchement arrivée papillonna des cils à sa présence. Serrant ses livres contre elle, les épaules qui essayaient d’enlacer sa timidité, elle souffla à son amie, de deux années scolaire au dessus.

_Oh qu’il est beau, je ne suis pas déçue d’être venue ici …
_Arrête, tu aurais pas pu t’émoustiller d’un autre ? Très franchement, des beaux garçons, t’as choisi le pire, la reprit-elle, la voix basse, lui attrapant le bras pour mieux atteindre son oreille, son regard mauvais jeté à Nathanaël.

La jeune femme lui lança des yeux régis par les interrogations face à la méfiance de son amie. Pourquoi était-elle autant sur la défensive, alors qu’elle ne parlait que du minois d’un dernier année, et à en juger son blason sur la veste qu’il avait passé négligemment sur son épaule : un Serpentard.

_Tu dis cela parce que c’est un Serpentard ? Il faut arrêter d’être aussi intolérant.
_S’il n’y avait que cela. Déjà, tu n’es qu’une tâche transparente à ses yeux, car aucun titre ne t’habille. Il est vil et opportun. S’il jamais il t’approche, ce serait pour te détruire ou se servir de toi. Laisse tomber va… Il n’y a pas meilleur démons que Nathanaël…

La jeune fille qui serra un peu plus forts ses livres d’éducation, fit une moue débordante de déception. Le jeune homme avait continué d’avancer, voyant les plus faibles essayer de fusionner avec le mur où se cacher derrière les plus vieux, qui le fusillaient avec leur miroir de l’âme. Il n’en avait que faire. Il était vrai que Nathanaël comptait tellement peu d’ami. Il était de ce genre de personne qu’il était difficile d’approcher, d’amadouer ou même d’attirer l’intérêt. Il était dangereux de se laisser approcher de lui au contraire. Ce n’était jamais dans de bonnes attentions, si un jour il en ai eu. Si ce n’est pas d’un voile artificielle dont il discutait avec vous, laissant croire à un contact humain, c’est juste pour se fondre à la masse. Les paroles qui se feront plus profonde, l’attention à votre égard plus douces, plus mielleuses ou investies : gare à vous, vous n’êtes qu’un pion pour mieux avancer, ou même pour simplement s’entrainer. Il s’ennuie de sa nouvelle petite vie et il n’y a rien de mieux que de se servir des autres pour monter ou s’expérimenter.

Des pas se précipitèrent vers lui, sans qu’il n’y porte quelconque intérêt. On lui attrapa le bras, du moins presque car il eut le temps de le retirer juste avant. Une tête parmi tant d’autre, un visage en pleine détresse. Il avait l’air si suppliant. « Eh dis, t’as quelque chose ? » l’interpella le jeune garçon, impatient et la tête qui tournait comme une girouette annonçant la tempête. Il marchait à reculons devant lui. Nathanaël le poussa d’un bras droit et robuste, pour qu’il disparaisse de son chemin. Ce n’était pas son genre de piétiner les gens, il préférait les poignarder dans le dos. Il insistait, sautillant comme une puce autour de lui.

_Eh, je viens d’arriver, siffla-t-il bougeant à peine ses lèvres. Tu peux bien attendre ce soir, t’as fait comment sans moi pendant les vacances, hein ?

L’homme hochait la tête, heureux et il déguerpit. Il continuait d’avancer. Il n’était pas facile de jouer sur plusieurs niveau. Etre qu’un simple dealer était assez humiliant après ce qu’il avait vécu, mais c’était une façon comme une autre de se mettre des gens sous le coude. Le seul problème, c’est qu’il était aussi tomber dedans. Les vivifiants d’esprit surtout et même quelques drogues moldues de temps à autre.

Une jolie petite tête blonde arriva sous son bras, duquel elle entoura avec tendresses ses épaules. Un rictus plus qu’un sourire s’afficha sur le visage du jeune homme. Il effleura à peine ses lèvres sur sa petite tempe couverte d’une peau blanche et douce naturellement. Sa petite sœur. Il n’y avait qu’elle qui était sûre d’avoir tout l’amour sincère de son frère. Ils étaient tout l’un pour l’autre et ne pouvaient être que plus fort l’un avec l’autre. Elle se balançait contre lui, une main qui attrapait à peine le bout des doigts de la sienne. Elle avait ce sourire plein de candeur, mais ce regard si malicieux et chipie, digne de leur famille. Elle laissa son autre main chercher ses précieux shortbread dont elle devina quelques miettes autour de sa bouche. Lui en dérobant un, elle fit une partie du chemin avec lui.

Grignotant le biscuit, elle sentit le corps de son frère se raidir sous son étreinte, et surtout ralentir. Son visage se tourna à l’opposé, alors que son rythme cardiaque avait fortement augmenté. Il essayait de se calmer. Un groupe de jeune, des 5e année qui adoraient l’embêter, malgré qu’ils soient d’un niveau scolaire inférieur, mais leur situation était bien plus grande. Ce qui était facile quand on n’était rien. Ils se tenaient là, appuyés à l’architecture majestueuse de l’enceinte, une infime partie de toute la richesse artistique que pouvait offrir l’endroit. Ils étaient des pachas, hommes horriblement oisifs et agaçants, pensant que par leur puissance et leur richesse, ils était les êtres parfaits de ce monde. Nathanaël, rien que par sa beauté et son intelligence valait mieux qu’eux, pour dire à quel point ils avaient l’air idiots de se croire si beaux.

_Regardez qui vient par là, les déchus qui avec leur petites larmes de crocodile et leur petites mains maladroites et incapables, essaie de recoudre leurs ailes pourries sur leur dos.
_Qu’est-ce qu’il fait encore là, chuchota la voix d’un des sbires de celui qui venait de parler, derrière.
_Bah faut croire qu’il n’a pas voulu se suicider après une forte dépression depuis la mort de son père, c’est dommage, en ajouta un autre, toujours aussi doucement.
_Ne vous inquiétez pas, les chiens ne font pas des chats, n’est-ce pas ? Il fera bien une bêtise comme son paternel pour souffrir du même sort, reprit bien haut, la grosse tête du groupe.

Autant sa fierté et son arrogance pouvaient le maintenir d'un simple regard hautain envers la cour, mais des fois, il ne pouvait se retenir. Il avait glisser sa main pour attraper sa baguette qui dépassait hors de sa poche. C'est alors que sa sœur plaqua une main ferme et chaleureuse sur son torse, tirant sur sa chemise pour lui faire tourner le dos à l'auditoire. Il lut dans son regard qu'elle lui demandait de ne rien faire. Elle n'avait pas tord. Il était plus avancé qu'eux en magie, il risquait de leur faire mal et il serait puni. De plus, il serait entré dans leur jeu puéril.

Lâchant contre son gré sa baguette, il reprit le chemin de sa chambre. Les deux enfants Ruiswyck s'enfoncèrent dans l'établissement, toujours cette ombre obscure d'une histoire honteuse qui leur collait à la peau.

Cette famille avait été pendant un long moment reconnue et avait sa place à la cour. Sang-purs, ils avaient cette situation prédisposée à être près du Roi, mais cela ne se fit pas ainsi. Vicomte enfin, les hommes de la famille, grimpèrent les échelons, s'approchant de plus en plus de la personne la plus importante du Royaume, par quelques manipulations et d'hypocrites bonnes attentions envers la couronne. On les connaissait malins, méticuleux, vils, vénaux, opportuns, sans regret, bons comédiens, de très bon conseil et marionnettistes, mais cela n'empêcha pas le Roi d'avoir de l'estime pour eux. Comme dit avant, la famille, le père de Nathanaël était un fin stratège et de très bon conseil pour le roi, son grand père avant l'avait été. Ainsi de suite. Malheureusement, la sagesse n'avait pas assez gagner l'anglais qui avait offert une vie aisée et pleine de privilèges à sa famille, dont Nathanaël qui la regrettait tant, mais pas plus que son paternel. Cette vie put offrir la chance au jeune homme d‘avoir l‘héritage caractériel qu‘il a à ce jour. La manipulation, qui était une bouée de sauvetage, aussi proche du Roi, était encore une chose difficile à son âge, mais il s’en sortait pas trop mal, s’aventurant dans ce genre d’expérience avec des personnes faibles. Le mensonge était si aisé pour lui, la comédie, n’en parlons pas. Il n’était pas encore complètement insensible. Il n’avait pas assez d’expérience derrière lui, alors il peut arriver quelque fois, que ses plans n’aboutissent pas à cause de cette fichue compassion, ces remords…

Cette situation et la lignée de sa famille ne lui apporta pas que cela. Une éducation stricte, droite qui n’acceptait aucun écart ou presque. Il dut être assidu et docile. Oh déjà tout jeune, le luxe, tout avoir quand il le voulait et où il le voulait, mais sans pour autant élever la voix, dire ce qu’il pensait franchement, le rendit quelques peu impulsif et instable. Il pouvait réagir violemment à trop se contenir, à trop marcher dans les rails. Des crises de tension, de frustration. Il n’a malheureusement pas les épaules assez larges et rigides pour tout porter. Il savait par conséquent se tenir en public, bien s’exprimer. La scolarité, ce n’était pas la richesse ni sa position qui fit qu’il s’ennuya fortement en cours, avant d’enfin arriver à Poudlard. Vif d’esprit, il apprenait et comprenait très vite. Si bien qu’il passait plus de temps à penser en cours qu’à travailler. Or, il n’était pas perturbateur, très calme, discret, élève modèle. Même si en dehors des salles de classe, il s’amusait à faire ce qu’il voulait de ses camarades. Il parle trois langues : le français couramment, ainsi que l’anglais et a des notions en russe, sans parler du norvégien qui fait partie de ses matières actuelles. Il est curieux et adore emmagasiner les informations. C’est comme une sorte de drogue pour lui. Ce crâne qui chauffe à force de trop apprendre, cette faim qui vous creusait l‘estomac, cette sensation d’avoir été enrichi de savoir. Il aimait cela. Il fait aussi du violoncelle à ses heures perdues, par simple plaisir.

Tout ça, il fallait quand même de l’argent pour assouvir à ses besoins. Ce genre de services étaient loin d’être gratuits. Son père arriva pour lui retirer tout ça, même s’il restait un peu de quoi continuer sa scolarité. Il arriva au bout de Poudlard et pu entrer à Avalonya, mais son monde de privilège, de personnes bien placées, c’était fini. Ses grandes études, le matériel pour y parvenir, cet univers du savoir, du pouvoir et du mal venait de lui être arraché, tout comme son père. Il lui en voulait d’une certaine façon, mais c’était incomparable à la souffrance qu’il éprouvât. Alors, étrangement, il n’avait pas rejeté la faute sur son père, qui était le seul responsable, mais à la monarchie. Pourquoi son père fut tué. Etrangement, personne ne le savait, ni même sa famille. On savait qu’il s’était entremêlé dans pas mal d’intrigues, mais avait-il vraiment été devancé, si mauvais, pour se faire prendre ? Pourquoi la cour aurait mit cette affaire sous silence. Et si, juste par peur idiote, le Vicomte Ruiswyck devenait trop entreprenant pour la cour. N’avaient-ils pas cherché n’importe qu’elle excuse excusable pour se débarrasser de lui ? Ce monde n’était qu’hypocrisie et jeu d’échec. C’était à celui qui arriverait à supprimer l’autre « accidentellement » le premier. Il n’irait pas jusqu’à dire que la monarchie, il l’avait en horreur, car elle avait toujours des avantages auxquels il ne pouvait résister. D’un autre côté, si on lui offre quelque chose de bien plus attrayant, il pourrait tourner le dos à la monarchie et vis versa. Depuis toujours, les Ruiswyck et Nathanaël, plus que sa famille, n’avait d’yeux que pour sa vie, son petit confort, ce qui lui paraissait le mieux pour lui, quoi que ce soit.

Cette idée, il la maintenait aujourd’hui, bien plus qu’avant, car depuis qu’ils furent tous disgraciés, il n’avait plus rien, alors tout ne pouvait qu’être plus offrant que sa situation actuelle. Or pour l’instant, ses projets restent de se rapprocher de la monarchie au plus près, des grandes familles, en attendant qu’on lui propose mieux. Dans cette école, Avalonya était si cosmopolite : tant de race, tant de caste, il n’avait qu’un buffet à volonté devant lui. Il lui suffisait de choisir pour atteindre son but, qui peut changer d’un temps à un autre. Son but premier, si on ne lui offrait rien de mieux comme perspective d’avenir : arriver au plus près de Roi, tout faire imploser pour l’humilier lui et ses courtisans. Ou alors, chercher la vérité sur son père, la rumeur disant qu’on l’avait vendu. Il trouverait qui il est et le pousserait à la mort.

Dans cette école, il était fidèle à lui-même, sans la pression de sa famille, aussi violente et droite fut-elle, son père n’hésitant pas à les frapper, même de façon protocolaire, ou leurs précepteurs, il lui manquait. Aussi sociable qu’un loup solitaire, il reste silencieux et mord s’il le faut, enfin si cela ne tenait qu’à lui. Il ne peut être celui qu’il aimerait être, il joue un autre rôle qui lui plait énormément : celui de rentrer dans le lard des gens quand l’humeur s’y porte, de se moquer. Mieux encore, faire craquer les gens d’une teinte grise, pour les faire virer au noir. Or, dans le besoin, il peut être plus tendre, plus ouvert, mais cela cache quelque chose. Il a peu d’amis, surtout des « sbires » comme il les considère, bien qu’ils y en aient qu’il estime beaucoup.


༺Sacrifice & vérité༻
« L'artiste de l'œuvre… »


Pseudo. ou Prénom Δ Kiwi
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Commentaires Δ Je ne voulais pas veniiiiir Nathanaël Solis Ruiswyck 994230
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MessageSujet: Re: Nathanaël Solis Ruiswyck Nathanaël Solis Ruiswyck EmptyJeu 3 Nov - 21:11

A tout fini, enfin je pense.

Dites moi ce qui ne va pas, je suis au taquet ^^
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MessageSujet: Re: Nathanaël Solis Ruiswyck Nathanaël Solis Ruiswyck EmptyJeu 3 Nov - 21:51

Poudlard
est fier de t'accueillir à
SERPENTARD

Nathanaël Solis Ruiswyck 893604serpentard


Félicitation ! Ta présence est tolérée par le Roi et sa royale cour. Sois digne de lui en allant exposer ton portrait dans la GALERIE DES PORTRAITS afin que le monde sache à quoi tu ressembles. Pense aussi à recenser ton PATRONUS et te rendre chez L'INTENDANT DU ROI pour y faire vérifier ton compte en banque et faire gagner des points à ta maison.

Enfin, comme tu le sais certainement, ton personnage doit certainement avoir un CERCLE RELATIONNEL, ainsi que des HISTOIRES À RACONTER

Tout le staff de MAGISTER DIXIT te souhaite un bon jeu parmi nous.
J'ai particulièrement aimé ta fiche, seul petit bémol : le manque de couleur pour les dialogues ;)
Heÿsilæ N. Arkadÿevna
Hell ! It's Heÿsilæ N. Arkadÿevna

❝ Copyright © : L.Pleasure.
❝ Célébrité : Barbara Palvin
❝ Missives envoyées : 240



⚡ chocogrenouille
Pureté du Sang: Sang-mirage
Année Scolaire: 4ème année
Race: Feÿ (Nymphe) & Sorcière
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MessageSujet: Re: Nathanaël Solis Ruiswyck Nathanaël Solis Ruiswyck Empty

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